Une triste vie

Quelques mois après sa naissance, Nami fut vendue à des brigands car ses parents n'en voulaient pas. Ils ne désiraient pas avoir une fille, étant la famille royale ils avaient besoin d'un héritier, non d'une héritière. Elle fut tout de même élevée pendant deux ans par ses parents puisque les brigands ne pouvaient prendre en charge un bébé, il fallait qu'elle sache marcher et parler. Le jour de ses deux ans elle fut amené au repère des brigands. Avant que l'échange ne se fasse le roi, son père donne une directive aux brigands:
 "- Personnes d'autre ne devra savoir qui elle est et d'où elle vient. Elle même devra l'ignorer.
 - Il en sera fait selon vos souhait. Vous pouvez être assuré que nous garderons le secret Majesté."
Sur ces directives, Nami fut livrée aux brigands et la famille royale repartir. Les brigands menèrent la petite fille à l'intérieur. Elle se laissait faire car elle ne comprenait pas que ses parents l'avaient vendu et que donc elle ne les reverrait plus. En tout cas pas en tant que fille. Les brigands l’emmenèrent dans une sorte de forge où ils l’enchainèrent. A ce moment la elle commença à se débattre en criant et en pleurant.
"- Laissez moi partir ! Je veux voir mes parents, je veux rentrer chez moi !
- Tais toi ! Tes parents t’ont vendue, à présent tu es à nous !"
Les brigands firent chauffer un fer au feu. Pendant ce temps un autre essayait de la faire taire. Lorsque le fer fut chaud on arracha le dos de son vêtement et on la marqua au fer rouge. Elle hurla de douleur et s’évanouit. La marque qu'elle portait n'était pas net. On pouvais voir autour ses veines. Cette marque ne partira certainement jamais, elle devra donc vivre avec pour le restant de ses jours ... Les années passèrent et elle apprenait "l'art d'être une bonne épouse". Cet "art" consistait à savoir préparer à manger, prendre soin d'un homme et tout ce qui peut faire d'une femme une bonne épouse. A chaque erreur qu'elle faisait, elle était battu, elle recevait des coups de fouet et d'autres coups. A partir de 12 ans, les hommes commencèrent à s'intéresser à elle. Certains voulurent même en faire leur épouse. Mais chaque fois, elle restait introuvable le jour du mariage.
  A présent, Nami a 15 ans. Elle est devenu une belle et grande jeune fille. Elle avait de long cheveux noirs comme la nuit, des yeux gris clair, presque blanc ainsi que de fines lèvres rouge comme le sang que son tin pale faisait ressortir. Pour résumé, elle était devenue une magnifique jeune fille. Alors qu'elle devait se marier une fois de plus, elle c'était caché dans une petite maison en ruine qui se trouvait à quelques kilomètres de l'endroit où elle vivait depuis qu'elle avait été vendue, ce qu'elle ignorait. La jeune fille se trouvait à l'étage de la maison, prés d'une fenêtre d'où elle regardais le ciel. Au bout de quelques heures, un beau jeune homme qui devait le même âge qu'elle sortit d'une pièce dont la porte ou du moins ce qu'il en reste était située derrière Nami. Il était habillé simplement, de vêtements que tout le monde pouvait avoir. En voyant la jeune fille il s'assit en face d'elle et l'observa longuement avant de lui parler:
  "- Que fait une si charmante jeune fille telle que vous dans un endroits comme celui-ci ?"
La jeune fille détourna son regard du ciel pour le poser sur le jeune homme. Dès qu'elle vue son beau visage elle sentie quelque chose de nouveau se développer dans son cœur. Ce sentiment se développait également chez le jeune homme. Après un court instant, juste le temps de l'examiner en vitesse elle lui répondit:
  "- Je ne fais que réfléchir en regardant le ciel. Et que fais un homme comme vous dans ces quartiers ? Vous m'avez l'air d'avoir plus de fortune que les gens de cette partie de la ville.
  - N'y a-t-il d'autres endroits pour cela ? Je viens quelques fois dans ces quartiers, je les trouve plus aptes aux ballades.
  - Je ne peux m'éloigner plus. Il est vrai que ces quartiers paraissent calme. Seulement ils ne le sont qu'en apparence, ici les dangers sont les plus élevés ..."
Nami s'efforçait de ne pas révéler l'endroit où elle vivait car elle ne voulait en aucun cas qu'il est pitié. En regardant le ciel, elle vit que le soleil commençait à se coucher. Il fallait donc qu'elle rentre même si elle connaissait le sort qu'on lui réservais à son retour. A cette idée ses yeux se remplirent de larmes et l'une d'entre elles s'échappa pour se laisser glisser le long de sa joue. en voyant cela je jeune homme essuya tendrement la larme rebelle en lui demandant quelque chose:
  "- Pourquoi pleurez-vous donc ? Une si belle jeune femme ne devrait pleurer, elle devrait garder ce beau sourire qui lui vas si bien et la rends si charmante.
  - Ce n'est rien, je vous assure. Le fait de devoir rentrer me rend seulement un peu nostalgique ...
  - Pourquoi donc ? Êtes-vous maltraité, êtes-vous battu ? Que vous fait-on pour que vous soyez nostalgique au moment de rentrer ?
  - Ce n'est rien de tout cela ... C'est simplement que j'aime beaucoup rester ici pour réfléchir. A présent je dois vraiment y aller."
Sur ces mots elle partie, tout en étant suivie par le jeune homme. Ce dernier tenait vraiment à découvrir les raisons qui poussaient ja jeune demoiselle à laisser couler une larme car elle n'avait aucune envie de retourner chez elle. Lorsque la demoiselle entra dans le repère un homme l'attrapa et l'enchaina tout en la sermonnant:
  "- Une fois de plus c'est maintenant que tu rentres, après avoir été introuvable toute la journée ! Tu vas en subir les conséquences !"
L'homme commença à la fouetter pour la punir de na pas être venu, une fois de plus au mariage et de l'avoir donc fait annulé. A ce moment la, le jeune homme entra. Il vit que la jeune fille qui se faisait battre était celle qu'il avait suivi. Il compris alors alors chacune des réactions qu'avait eu la jeune fille. Cette dernière put l'apercevoir un instant, mais cela lui suffit à le reconnaitre et à briser ses espoirs. Je jeune garçon s'approcha donc de l'homme qui battait la jeune femme et l’interrompis:
  "- Arrêtez-vous ! Pourquoi donc battez vous cette jolie demoiselle ?"
L'homme s'arrêta dès qu'il fut interrompu et regarda celui qui l'avait arrêté.