Bernard Werber: Les fourmies

A peine que je rentre du canada, je vous envoie une chronique, si ça c'est pas du dévouement ^^
Pour commencer, si vous êtes comme moi un poil réticent a lire un livre parlant d'insecte sachez que ces réticences sont inutiles du fait que la narration est telles qu'on ne voit pas les fourmis en tant qu'insecte mais en tant que personne, de plus on a aussi le droit a des passages ou l'on retrouve des héros humain. Je suppose que je n'ai pas a présenté Werber (go wiki sinon) une des étoiles montantes de la sf qui je dois l'avouer m'a bluffé sur le coup.
Donc, dans le premier volumes on dispose du moins au début de deux trames principales, une coté humain, une coté fourmis. 
Les humains sont une petite famille qui cherchent a résoudre les mystère laisser par le Pr Edmond, l'oncle du père. Ce fameux oncle est mort laissant par hasard une vaste maison a un neveux qu'il n'as pas vu depuis une vingtaines d'année a peu prés  celui ci cherche donc a comprendre le mystère qui se cache la dessous.
Coté fourmis, on commence a suivre un jeune mâle d'une fourmilière a peine réveille de leur hibernation. Il faut savoir qu'une fourmi cesse de bouger une fois que le seuil minimum est dépassé, une espèce de "mise en veille". Ce mâle partiras donc en expédition a la recherche de nourriture pour la fourmilière fraîchement réveillé qui littéralement crève la dalle. Il verra a sa grande stupeur les membres de son expédition mourir avant même d'avoir pu se défendre, tué par une force inconnu alors qu'il avait le regard tournée. Il chercheras donc a éclaircir ce mystère cherchant avec ferveur cette arme qui a pu causé la mort de toute une expédition d’un seul coup ne laissant que des cadavres comme trace 
Voila, je pense en avoir assez dit. Sur ce a la prochaine. Une seule chronique cette semaine du fait que j'ai mon propre site a garnir cette semaine et que franchement je suis crevé après les six heures de décalage horaire que je me suis pris. le Québec c'est beau mais c'est loin!